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RechercherDerniers commentairesmoi j ai eu une photo dédicacée par mr villemain robert on me l'a donné je l ai encadré pour moi un très grand
Par Anonyme, le 13.09.2025
bonjour , étant un grand passionné de boxe anglaise , j'allée très souvent le voir s'antrainer a la salle acar
Par GRUCHY jean-pierre, le 26.07.2025
josé jover était mon oncle et frère de mon père ..
c'était un oncle formidable et son départ a créé un vide
Par Anonyme, le 10.04.2025
très bel article. merci. myriam fille de mr andré clerc.
Par Anonyme, le 19.03.2025
ages de pascal
Par Anonyme, le 01.03.2025
Date de création : 16.12.2013
Dernière mise à jour :
02.03.2021
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Notre ami Jérôme Fouache a récemment signalé qu’il était peut être plus très intéressant d’aller fouiller dans le passé pugilistique et il se voulait résolument optimiste pour l’avenir de la boxe en France. En substance, Jérôme indiquait qu’il ne fallait plus regarder du côté de Marcel Cerdan mais regarder devant soi.
Comme nous aimerions pouvoir le suivre dans son raisonnement mais il est hélas certain qu’en 2013, Marcel Cerdan n’a toujours pas été dépassé ni même égalé. Aujourd’hui, la boxe souffre terriblement du manque d’appuis à la fois médiatiques et télévisés.
Peut-être manque-t-elle tout simplement aussi de grands champions qui pourraient à eux seuls assurer le succès d’une réunion. Voici un quart de siècle, moins peut-être, Christophe Tiozzo était la grande vedette en France, la seule qui pouvait faire de l’audience.
Penchons nous dans le passé voici un peu plus d’un demi siècle. Nous sommes exactement en 1956 et le journal l’Equipe effectue une enquête sur le thème suivant : « La Boxe nourrit-elle son Homme ? ».
Quelle belle question et la réponse ne tarde pas. La France compte exactement 860 boxeurs professionnels qui se décomposent ainsi : 117 sont classés Première série ; 222 sont en 2e série, 344 sont en 3e série et enfin 117 sont néo-pros. Certes, seulement 18 ne vivent que de la boxe et parmi eux, on relève Alphonse Halimi Chérif Hamia, Raymond Famechon, Séraphin Ferrer, Idrissa Dione, Charles Humez, Germinal Ballarin, Mickey Laurent, Drille, Colin etc.
Ceux qui s’intéressent à ce sport constatent que tous les noms cités plus haut sont de vraies références. A l’époque, dans chaque catégorie, plusieurs Français étaient en concurrence et il n’était pas nécessaire de faire venir des boxeurs de l’étranger pour assurer le succès populaire des réunions. Le Palais des Sports de Paris faisait le plein chaque quinzaine. Un combat franco-français était synonyme de réussite et si la télévision n’avait pas encore fait son entrée dans le paysage sportif, les bourses des boxeurs étaient quand même rondelettes.
Et il ne faut jamais oublier qu’à l’époque, le boxeur qu’il ait été néo-pro ou grande vedette, devait verser 30% de sa bourse à son manager. Les boxeurs professionnels ayant un emploi avaient pourtant l’habitude de bien gagner leur vie. Exemple, le cheminot picard (il était de Laon) Gilbert Lavoine qui fut champion d’Europe des poids welters et qui n’a jamais quitté son métier à la SNCF.
Certes, à cette époque, seule une minorité de boxeurs ne vivaient que grâce à leur sport mais il n’empêche que tous les autres, y compris les néo-pros, n’étaient pas malheureux pour autant. La boxe constituait pour un eux un supplément et ils pouvaient ainsi améliorer leur ordinaire quotidien et s‘acheter par exemple le réfrigérateur qui leur manquait jusqu’alors. Voire devenir propriétaire d’un petit commerce ou d’un café. Pour ces 860 professionnels de 1956, la boxe n’était pas un mirage.
Lionel HERBET
Je veux simplement dire qu'en regardant les innombrables champions d'antan, nous allons avoir du mal à avancer... Mon but n'est pas d'oublier les anciens (le site prouve bien que je ne veux pas faire cela) mais d'avancer en essayant de mettre en avant les champions de demain. Il y a tellement eu de grands noms que les nouveaux vont avoir du mal à avancer...http://infosboxe.centerblog.net
Aujourd'hui 412 professionnels, un seul champion majeur en la personne de Karim GUERFI (champion EBU)Les plus belles pages du noble art sont tournées. Bravo à Jérôme pour ce site.En 1956, il n'y avait pas de télé, pas de chômage, pas de vidéo, pas de jeux électronique, pas d'informatique, pas de téléphone mobile. Les ouvriers allaient au cinéma, aux manifestations sportives,.........bref, consommaient du loisirs. Aujourd'hui, plus de télés intéressés, du chômage, pas de sponsors, les collectivités se désengagent, une fédé qui a délaissé la boxe prof mais pas les taxes, l'U.R.S.S.A.F qui prend les organisateurs pour des employeurs. Comment voulez vous que les boxeurs en vivent. Les organisateurs doivent commencer à payer des taxes avant d'avoir vendu le 1er billet. Rien n'est fait pour faciliter une organisation. Nous avons de la qualité mais ce n'est pas en combattant une ou deux fois par an que l'on peut faire sortir un champion. C'est triste comme constat mais c'est une réalité.P.LAROCHE.
Entièrement d'accord avec Mr Djilali, beaucoup de Pros ne font pas plus d'un voir deux combats faute d'organisations et les raisons l'argent.
Oui quand on a vu boxer Ray Sugar Robinson et Marcel Cerdan..plus rien n'a d'égal !!!Bonjour je recherche des informations sur un ancien boxeur Mario Citrije cherche des informations sur le boxeur HERNANDEZ JOSE
Bonjour, Je suis le fils de Michel CLAVEL (1931-2005), 7 ans amateur et 8 ans pro, ami de Raymond FAMECHON, et frère de Titi (Emmanuel) CLAVEL. Voulez vous des infos, des photos, ou tout simplement échanger sur la boxe des années 50/60 ?
Germinal Ballarin tenait, je crois, un café à Paris (arrondissement ?), qui était le siège d'un club de pétanque ; j'étais alors un enfant.Bonjour, j'avais en 1963 16 ans, et j'ai connu GERMINAL BALLARIN ET JEAN BRETONNEL qui avec un autre boxeur dont je me rappelle plus de son nom étaient venus tous les trois dans notre foyer de jeunes travailleurs pour nous rendre visite et manger avec nous un soir. Ce fut une soirée très sympathique. Je me rappelle de la poignée de mains de FER qui était celle de GERMINAL.Ecrire un commentaire